Transgression sociale et innovation esthétique. La dimension politique de l?« art light » à Buenos Aires entre 1989 et 1993

MARIANA CERVIÑO

Mouseion, Revista Eletrônica do Museu e Arquivo Histórico La Salle

UnilaSalle

Lugar: Canoas, Rio Grande do Sul; Año: 2012

1981-7207

El artículo será publicado en el mes de diciembre en la revista Mouseion, Revista Eletrônica do Museu e Arquivo Histórico La Salle, inizada en Sumários.og, sumário de revistas brasileiras y PKP (PUBLIC KNOWLEDGE PROJECT (http://pkp.sfu.ca/ojs-journals) p style="TEXT-ALIGN: justify; LINE-HEIGHT: 150%; MARGIN: 0cm -18.85pt 0pt -14.2pt" class="MsoNormal">De  1989 à 1993, s´est produit à Buenos Aires l´émergence d´un nouvel espace symbolique à l´intérieur du champ artistique de la ville, autour de la Salle du Centre Culturel Ricardo Rojas. Son premier directeur, l´artiste Jorge Gumier Maier, a configuré à cette période, à travers ses choix, une esthétique que le reste du champ reconnaîtra comme spécifique de cet espace et, en même temps, contraire aux esthétiques dominantes. La stratégie menée par le Centre Rojas pour se distinguer en tant que nouvel espace dans le champ artistique, ainsi que les ?uvres et les artistes réunis autour de lui, ont produit des ruptures par rapport aux règles du champ, qui permettent de l?analyser comme un cas de mouvement artistique « hérétique », dans le sens bourdieusien des groupes ou des esthétiques construits en rupture avec les règles qui régnaient à l´intérieur du champ artistique à cette époque. A partir de cette approche, nous considérons que, dans le cas du Rojas, l´établissement d´une esthétique différenciée a impliqué une lutte pour la légitimité des types d´artistes qui avaient émergé récemment dans le champ culturel, en s?opposant au modèle des artistes consacrés.