INVESTIGADORES
SCHULIAQUER Ivan
artículos
Título:
« Gouverner sans conseillers en communication. Le cas des gouvernements du Frente Amplio en Uruguay (2005-2020) »
Autor/es:
IVAN SCHULIAQUER
Revista:
Quaderni
Editorial:
Les éditions de la Maison des sciences de l'Homme
Referencias:
Lugar: Paris; Año: 2020
ISSN:
0987-1381
Resumen:
(El sistema evaluatorio francés previsto para calificar y evaluar a su propio personal tiene lógicas nacionales que no siempre siguen los criterios más aceptados globalmente. En este caso, la revista Quaderni está calificada como una revista "qualificante" para seleccionar el personal académico de las universidades. Está considerada entre las decenas de revistas académicas de la sección 71 del Conseil national des universités. Ver aquí: https://www.sfsic.org/index.php/infos/liste-des-revues-qualifiantes-en-71eme-section. Al mismo tiempo, pertenece a una de las editoriales más prestigiosas del país:  Les éditions de la Maison des sciences de l´Homme)Ahora sí el resumen, gracias:Danscet article, nous analysons la relation entre les gouvernements de gauche duFrente Amplio en Uruguay et les médias, plus précisément la première et laseconde présidence de Tabaré Vázquez (2005-2010/2015-2020) et celle de José «Pepe » Mujica (2010-2015). Les deux présidents ont signalé que les grandsgroupes médiatiques uruguayens étaient des acteurs-clés de leur oppositionpolitique. Or, ils ont gouverné sans conseillers en communication et ont obtenuune couverture médiatique favorable. Afin d?interroger les conditionsexpliquant cette situation, l?article se compose de trois parties. La premièrepropose un modèle d?analyse des systèmes médiatiques nationaux et l?applique aucas uruguayen. La deuxième explore la manière dont les politiques decommunication et la communication politique ont été négociées dans le pays. La dernière partie montre que lesprésidents ont su imposer certaines conditions à leurs apparitions médiatiqueset que les grands groupes médiatiques ont réussi à négocier les politiques derégulation médiatique. De ce fait, il n?est pas étonnant que les acteurspolitiques et médiatiques n?aient pas cherché à modifier les règles régissant leursrapports. Cela peut s?expliquer par certaines conditions structurelles propresà l?Uruguay, notamment le poids relatif de l?État sur le champ médiatique, lescaractéristiques du journalisme politique et la centralité de la médiationpartisane, qui ont joué un rôle-clé en faveur du gouvernement.